La faille « Freak » touche aussi les PC sous Windows
http://www.20minutes.fr/article/1556131/api-rss
Christophe CUCCIARDI
La faille « Freak » touche aussi les PC sous Windows
http://www.20minutes.fr/article/1556131/api-rss
Christophe CUCCIARDI
https://whiteout.io/
Christophe CUCCIARDI
Sans grande surprise, la Cour de cassation vient de juger que les SMS émis ou reçus grâce au téléphone de fonction, ou d’un téléphone professionnel, d’un salarié sont « professionnels » par défaut. Cela signifie que tant que ces messages ne sont pas identifiés comme étant « personnels », l’employeur peut y avoir accès en dehors de la présence de l’utilisateur concerné. Plus d’information sur le lien.
Christophe CUCCIARDI
Plymouth est une application exécutée très tôt dans le processus de démarrage, avant même le montage du système de fichier root, fournissant un écran de démarrage animé, connu sous le nom de « bootsplash », cachant le déroulement du processus de démarrage en arrière plan.
On installe l’application ainsi que les bibliothèques DRM
apt-get install plymouth libdrm-intel1
Éditez le fichier /etc/initramfs-tools/modules
# KMS
intel_agp
drm
i915 modeset=1
Il faut ensuite configurer le chargeur de démarrage (Grub2 généralement)
Éditez le fichier /etc/default/grub
GRUB_GFXMODE=1024x768
ou pour un portable, une résolution plus adaptée :
GRUB_GFXMODE=1024x576
Il est possible d’ajouter la profondeur des couleurs
GRUB_GFXMODE=1024x576x32
Puis on active le splash par :
GRUB_CMDLINE_LINUX_DEFAULT="quiet splash"
Puis on met la configuration à jour de grub2 par
update-grub2
Les thèmes de Plymouth sont disponibles dans les dépôts sous la forme « plymouth-themes* »
un petit apt-cache search plymouth-themes nous renvoi la liste de ceux installables, sachant qu’ils sont tous disponibles dans le méta paquet « plymouth-themes-all ».
Pour afficher la liste des thèmes on lance la commande en root :
/usr/sbin/plymouth-set-default-theme --list
Pour définir un thème :
/usr/sbin/plymouth-set-default-theme THEME
avec THEME le nom du thème choisi
Après (et à chaque changement de thème) on met à jour le ram disque initial (initram)
update-initramfs -u
Rebootez pour voir votre séquence de démarrage, et notamment le fameux bootsplash, que l’on peux désactiver avec la touche <échap> pour afficher les messages du démarrage qui sont aussi inscrit dans le fichier /var/log/boot.log
Un standard pour la transmission des paquets IP sur pigeons voyageurs RFC 1149.
Ce mémo décrit une méthode expérimentale d’encapsulation de paquets IP dans des pigeons voyageurs. Cette spécification est surtout utile dans les Réseaux Métropolitains (Metropolitan Area Networks). Ceci est un standard expérimental, pas une recommendation. La distribution de ce mémo n’est pas restreinte.
Les pigeons voyageurs peuvent apporter un service impliquant un délai important, un faible débit et une grande altitude. La topologie de la liaison est limitée à une seule route point-à-point par pigeon, en utilisant des pigeons ordinaires, mais il est possible d’utiliser un grand nombre de pigeons sans connaître d’interférences significatives, excepté au début du printemps. Ce phénomène est dû à l’utilisation de l’espace 3D disponible pour les pigeons, à comparer avec l’espace 1D disponible pour IEEE802.3. Les pigeons ont un système d’évitement de collision intrinsèque, ce qui augmente leur disponibilité. Au contraire de certaines technologies réseau, comme les communications par radio, la communication ici n’est pas limitée par la ligne de vision directe. Un service orienté-connexion est disponible dans certaines villes, habituellement basé sur une topologie comportant un lieu d’échange central.
Le paquet IP est imprimé sur un petit rouleau de papier, en hexadécimal, les octets séparés par du noir et du blanc. Le rouleau de papier est enroulé autour d’une des pattes du pigeon voyageur. Une bande de scotch est utilisée pour sécuriser les bords du paquet. La bande passante est limitée par la taille de la patte. Le MTU est variable, et, paradoxalement, augmente généralement avec l’age du pigeon. Un MTU typique est de 256 milligrammes. Il peut être nécessaire de compléter certains paquets.
Àprès réception, la bande de scotch est ôtée et la copie papier du paquet est numérisée et transformée dans un format électronique transmissible.
Des services de plusieurs types peuvent être distingués en imposant des priorités pour aller picorer. Étant donné que IP ne garantit qu’une tentative (best effort) de délivrance, la perte d’un pigeon peut être tolérée. Avec le temps, les pigeons se régénèrent automatiquement. On ne dispose pas de multi-diffusion, mais les orages peuvent causer des pertes de données. Il y aura des tentatives de livraison répétées, jusqu’à ce que le pigeon tombe. Des traces sont automatiquement générées, et peuvent souvent être trouvées sur les journaux et les câbles.
La sécurité n’est généralement pas un problème lors d’une utilisation normale, mais certaines mesures doivent être prises (comme le chiffrement des données) lorsque les pigeons voyageurs sont utilisés en environnement tactiques.
Afin d’installer suPHP vous devez déjà disposer d’Apache sur votre serveur
Il faut à présent définir les droits des fichiers de vos sites pour que chacun devienne indépendant. Exemple pour un utilisateur fictif « toto » ayant accès uniquement à tous les sous-dossiers à partir de /toto :
chown -R toto:toto /var/www/domaine_1/sous_dossier
Par ailleurs, il faut savoir deux choses sur l’utilisation de suPHP :
1. Le dossier contenant les fichiers d’un utilisateur doit également appartenir à cet utilisateur. C’est à dire que /sous_dossier doit appartenir à toto pour que celui-ci puisse exécuter les fichiers dans le dossier.
2. Les autres dossiers parents doivent obligatoirement appartenir à l’utilisateur root:root, Dans notre exemple /var/www/domaine_1 doit appartenir à root:root sous peine d’obtenir une erreur 500 dans votre navigateur
NB il peux être intéressant de définir ça dans /etc/skel qui est le squelette des répertoire utilisateur.
vi /etc/apache2/mods-available/suphp.conf
<IfModule mod_suphp.c> AddType application/x-httpd-php .php .phtml .php3 .php4 .php5 AddType application/x-httpd-php-source .phps AddHandler x-httpd-php .php .php3 .php4 .php5 <Location /> SuPHP_AddHandler x-httpd-php </Location> suPHP_ConfigPath /etc/php5/cgi suPHP_Engine on </IfModule>
a2enmod suphp
a2enmod suphp ermet d’activer le module Apache, qui n’est autre qu’un lien symbolique (ln -s /etc/apache2/mods-available/suphp.conf /etc/apache2/mods-enabled/)
vi /etc/suphp/suphp.conf
[global] ;Path to logfile logfile=/var/log/suphp/suphp.log
;Loglevel loglevel=info
;User Apache is running as webserver_user=www-data
;Path all scripts have to be in docroot=/
;Path to chroot() to before executing script ;chroot=/mychroot
; Security options allow_file_group_writeable=false allow_file_others_writeable=false allow_directory_group_writeable=false allow_directory_others_writeable=false
;Check wheter script is within DOCUMENT_ROOT check_vhost_docroot=false
;Send minor error messages to browser errors_to_browser=true
;PATH environment variable env_path=/bin:/usr/bin:/usr/sbin:/sbin
;Umask to set, specify in octal notation umask=022
; Minimum UID ; sur debian Apache (www-data) à l’uid 33 min_uid=33
; Minimum GID min_gid=33
[handlers] ;Handler for php-scripts x-httpd-php=php:/usr/bin/php5-cgi
;Handler for CGI-scripts x-suphp-cgi=execute:!self