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L’évolution des supports informatiques avant l’an 2000

De l’ère pré-numérique à l’aube du nouveau millénaire

Découvrez l’évolution fascinante des supports informatiques jusqu’à l’an 2000. Explorez les cartes perforées, les bandes magnétiques, les disquettes, les disques durs, les CD-ROM et les clés USB.

Plongez dans l’histoire de l’informatique et explorez les avancées technologiques qui ont façonné notre monde numérique.

Introduction

Dans cette introduction, vous pouvez présenter l’importance des supports informatiques dans l’évolution de la technologie, en soulignant leur rôle crucial dans le stockage et la manipulation des données. Vous pouvez également mentionner que ces supports ont subi des évolutions majeures jusqu’en l’an 2000.

Les supports informatiques pré-numériques

2.1 Les cartes perforées (1801-1970)

Les cartes perforées étaient l’un des premiers supports utilisés pour le stockage des données. Elles ont été inventées par Joseph-Marie Jacquard en 1801. Ces cartes en papier étaient perforées selon un schéma spécifique pour représenter des informations. Elles étaient utilisées dans des machines telles que les métiers à tisser mécaniques et les premiers ordinateurs. Les cartes perforées ont été largement utilisées jusqu’aux années 1970.

2.2 Les bandes magnétiques (1928-2000)

Les bandes magnétiques étaient des supports d’enregistrement utilisés pour stocker des données sur des bandes de matériau magnétique. En 1928, Fritz Pfleumer a inventé la bande magnétique en utilisant de la poudre de fer sur un support en papier. Plus tard, des matériaux tels que l’acétate de cellulose et le polyester ont été utilisés pour les bandes magnétiques. Elles étaient principalement utilisées pour le stockage des données et la sauvegarde. Les bandes magnétiques étaient couramment utilisées jusqu’en l’an 2000.

2.3 Les disquettes (1971-2000)

Les disquettes étaient des supports de stockage portables utilisés pour les ordinateurs personnels. En 1971, IBM a introduit la première disquette, appelée « 8 pouces ». Elle était constituée d’un disque magnétique souple contenu dans une enveloppe en plastique. Les disquettes ont été utilisées pour le stockage de programmes, de fichiers et d’autres données. Elles sont devenues populaires dans les années 1980 et 1990, mais leur utilisation a diminué à partir de l’an 2000 avec l’essor des supports de stockage numériques.

Les supports informatiques numériques

3.1 Les disques durs (1956-2000)

Les disques durs sont des supports de stockage utilisés pour enregistrer des données de manière permanente dans les ordinateurs. En 1956, IBM a lancé le premier disque dur commercial, appelé IBM 350. Il était composé de disques magnétiques rotatifs sur lesquels les données étaient enregistrées. Les disques durs ont connu des améliorations constantes en termes de capacité de stockage et de vitesse d’accès aux données. Ils étaient très répandus jusqu’à l’an 2000.

3.2 Les CD-ROM (1982-2000)

Les CD-ROM (Compact Disc Read-Only Memory) étaient des supports optiques utilisés pour le stockage de données. Ils ont été introduits en 1982 par Philips et Sony. Les CD-ROM étaient largement utilisés pour la distribution de logiciels, de jeux et de contenu multimédia. Ils offraient une capacité de stockage beaucoup plus élevée que les disquettes et permettaient une lecture plus rapide des données. Les CD-ROM étaient très populaires jusqu’à l’an 2000.

3.3 Les clés USB (1999-2000)

Les clés USB (Universal Serial Bus) sont des supports de stockage portables utilisés pour transférer et sauvegarder des données. Elles ont été introduites sur le marché en 1999 par plusieurs fabricants. Les clés USB utilisent une mémoire flash pour stocker les données et peuvent être connectées à des ordinateurs via le port USB. Elles offraient une grande capacité de stockage et une facilité d’utilisation, ce qui en a fait un remplacement populaire des disquettes. Les clés USB sont devenues courantes à la fin des années 1990 et leur utilisation s’est poursuivie jusqu’à l’an 2000.

Conclusion

l’évolution des supports informatiques jusqu’en l’an 2000 a été marquée par des avancées significatives qui ont façonné le paysage technologique. Des supports pré-numériques tels que les cartes perforées, les bandes magnétiques et les disquettes ont ouvert la voie à des supports numériques plus avancés tels que les disques durs, les CD-ROM et les clés USB.

Les cartes perforées ont permis de stocker et de manipuler des informations dès le début du XIXe siècle, tandis que les bandes magnétiques ont offert des capacités de stockage plus importantes et ont été largement utilisées tout au long du XXe siècle. Les disquettes ont été le support de stockage privilégié des ordinateurs personnels pendant des décennies, mais ont progressivement été remplacées par des technologies plus performantes.

Les supports numériques, tels que les disques durs, ont offert des capacités de stockage massives et des vitesses d’accès aux données améliorées. Les CD-ROM ont révolutionné la distribution de logiciels et de contenu multimédia, tandis que les clés USB ont apporté une portabilité et une commodité accrues dans le transfert et la sauvegarde des données.

Cette évolution des supports informatiques a été essentielle pour répondre aux besoins croissants de stockage et de manipulation des données, et a ouvert la voie à de nouvelles possibilités dans le domaine de l’informatique. L’histoire des supports informatiques jusqu’en l’an 2000 témoigne de la rapidité des progrès technologiques et de leur impact sur notre société numérique.

En explorant cette évolution fascinante, nous sommes en mesure d’apprécier le chemin parcouru et de mieux comprendre les fondements de notre monde numérique moderne.

L’an 2000 et l’informatique

Introduction

L’arrivée de l’an 2000 a suscité beaucoup de craintes et d’angoisses, non seulement chez les particuliers, mais aussi dans le monde de l’informatique. En effet, ce changement de millénaire a été accompagné d’un problème informatique majeur: le bug de l’an 2000. Dans cet article, nous allons explorer les origines de ce problème et ses conséquences pour l’informatique, ainsi que les mesures prises pour y remédier et les enseignements que nous pouvons en tirer.

Les origines du problème de l’an 2000

Le bug de l’an 2000 trouve ses origines dans la façon dont les premiers programmeurs ont conçu les ordinateurs. À l’époque, la mémoire était une ressource rare et précieuse, et les programmeurs cherchaient donc à économiser chaque octet. Pour économiser de l’espace, ils ont utilisé une convention d’écriture de date à deux chiffres, ce qui signifie que l’année était représentée par deux chiffres seulement, par exemple « 99 » pour 1999. Cette convention a fonctionné pendant des années, mais elle a posé un problème lors du passage à l’an 2000. En effet, les ordinateurs allaient interpréter « 00 » comme l’année 1900 au lieu de 2000, ce qui aurait des conséquences désastreuses pour les systèmes informatiques qui calculent des durées ou des échéances.

Les conséquences du bug de l’an 2000 pour l’informatique

Le bug de l’an 2000 aurait pu causer des pannes et des dysfonctionnements dans les systèmes informatiques du monde entier. Les conséquences auraient été particulièrement graves pour les systèmes qui gèrent des données sensibles, comme les systèmes bancaires ou les systèmes de contrôle aérien. Si ces systèmes avaient connu des pannes, les conséquences auraient pu être catastrophiques pour l’économie mondiale et la sécurité des personnes.

Les mesures prises pour éviter le bug de l’an 2000

Face à la menace du bug de l’an 2000, les gouvernements et les entreprises ont pris des mesures pour y remédier. Les programmeurs ont dû mettre à jour les systèmes informatiques pour prendre en compte les années à quatre chiffres, ce qui a nécessité beaucoup de travail et de ressources. Les entreprises ont également dû tester leurs systèmes pour s’assurer qu’ils étaient prêts pour le passage à l’an 2000.

Les enseignements tirés de l’expérience du bug de l’an 2000

Le bug de l’an 2000 a été une expérience douloureuse pour l’industrie de l’informatique, mais elle a également été une source d’enseignements. Les entreprises ont compris l’importance de maintenir leurs systèmes informatiques à jour et de prévoir des budgets pour les mises à jour nécessaires. Les programmeurs ont également compris l’importance de la qualité du code et de l’architecture logicielle pour éviter les erreurs coûteuses.

Conclusion

Le bug de l’an 2000 a été une menace sérieuse pour l’informatique, mais il a également été l’occasion de prendre conscience des enjeux de la maintenance des systèmes informatiques et de la qualité du code. Grâce aux mesures prises pour éviter le bug de l’an 2000, les systèmes informatiques ont pu passer le cap de l’an 2000 sans encombre, et l’industrie de l’informatique a tiré des enseignements précieux pour éviter les erreurs à l’avenir.

L’informatique avant les années 2000

Introduction

L’informatique a connu une évolution fulgurante au cours des dernières décennies. Avant les années 2000, l’informatique était encore à ses balbutiements, mais elle avait déjà commencé à transformer notre monde. Dans ce blog, nous allons explorer les débuts de l’informatique et son évolution jusqu’à l’aube du nouveau millénaire.

Les premiers ordinateurs

Les premiers ordinateurs étaient des machines énormes qui remplissaient des pièces entières. Un exemple notable est l’ENIAC (Electronic Numerical Integrator and Computer), mis en service en 1945, construit par John W. Mauchly et J. Presper Eckert à l’Université de Pennsylvanie. L’ENIAC était un monstre de 30 tonnes qui occupait une surface de 167 mètres carrés. Il était principalement utilisé pour effectuer des calculs complexes nécessaires au développement de l’armement pendant la Seconde Guerre mondiale. Ils étaient coûteux et complexes à utiliser, mais ils ont ouvert la voie à la technologie que nous utilisons aujourd’hui. Le premier ordinateur électronique a été construit en 1945 par John Atanasoff et Clifford Berry. Cependant, ce n’est qu’au cours des années 1950 que les ordinateurs ont commencé à être utilisés pour des applications commerciales.

Le développement des langages de programmation

Au fil du temps, les langages de programmation sont devenus de plus en plus sophistiqués. L’un des premiers langages de programmation, le Fortran (Formula Translation), a été créé en 1957 par IBM pour faciliter la programmation scientifique et numérique. Fortran a ouvert la voie à d’autres langages tels que COBOL (Common Business-Oriented Language), qui a été développé dans les années 1950 pour les applications commerciales, et BASIC (Beginner’s All-purpose Symbolic Instruction Code), qui est devenu populaire dans les années 1960 pour les ordinateurs personnels. Les années 1970 ont vu l’apparition de langages tels que C et Pascal, qui sont toujours utilisés aujourd’hui.

Les avancées dans le domaine de la connectivité

Le développement de la connectivité a été un élément clé de l’évolution de l’informatique. Au départ, les ordinateurs étaient des machines autonomes, mais à mesure que les réseaux se sont développés, les ordinateurs ont commencé à communiquer entre eux. Dans les années 1960, les premiers réseaux informatiques ont été créés, tels que l’ARPANET (Advanced Research Projects Agency Network), qui a jeté les bases de l’Internet moderne. L’ARPANET a été créé par le Département de la Défense des États-Unis pour permettre la communication et le partage de ressources entre les chercheurs et les universités. Il a conduit à la création d’Internet dans les années 1980.

Les ordinateurs personnels

Les ordinateurs personnels ont commencé à devenir plus abordables et plus accessibles dans les années 1980. Les premiers ordinateurs personnels, tels que l’Apple II, lancé en 1977 et le Commodore PET, lancé en 1977 également, étaient des machines simples destinées à un usage personnel. Cependant, c’est l’IBM PC, sorti en 1981, qui a véritablement popularisé les ordinateurs personnels et établi les normes de l’industrie. L’IBM PC fonctionnait avec le système d’exploitation MS-DOS (Microsoft Disk Operating System), développé par Microsoft, et était compatible avec une grande variété de logiciels. Ainsi les ordinateurs personnels sont devenus plus puissants et plus polyvalents.

L’informatique dans les entreprises et les industries

L’informatique a également transformé les entreprises et les industries en automatisant des tâches autrefois réalisées manuellement. Dans les années 1950, les premiers systèmes informatiques ont été utilisés pour automatiser des processus de bureau tels que la comptabilité et la gestion des stocks. Au fil du temps, les systèmes informatiques sont devenus plus sophistiqués et ont été utilisés dans des domaines tels que la production manufacturière, la distribution et la logistique. Par exemple, le système MRP (Material Requirements Planning) a été développé dans les années 1960 pour aider les entreprises à gérer efficacement leurs stocks et leurs besoins en matériaux.

Les jeux vidéo et l’informatique de divertissement

Avant les années 2000, l’informatique avait également commencé à jouer un rôle important dans le domaine du divertissement. Les jeux vidéo sont devenus de plus en plus populaires avec l’apparition de consoles de jeux tels que la Nintendo Entertainment System (NES), lancée en 1983, et la Sega Genesis, lancée en 1988. Ces consoles ont permis aux joueurs de profiter de jeux interactifs à domicile. Les ordinateurs personnels ont également été utilisés pour des applications de divertissement, tels que la création et le traitement de la musique et de la vidéo.

 

En résumé, l’informatique a connu une évolution remarquable depuis ses débuts avec les premiers ordinateurs jusqu’à l’aube du nouveau millénaire. Les avancées dans les langages de programmation, la connectivité, les ordinateurs personnels, l’utilisation dans les entreprises et les industries, ainsi que le divertissement ont tous contribué à façonner l’informatique telle que nous la connaissons aujourd’hui.

Les questions énigmatiques sur l’informatique

Un Voyage dans les Mystères du Monde Numérique

Introduction :

L’informatique est un domaine vaste et complexe qui continue de fasciner les esprits curieux. Des milliards de lignes de code, des algorithmes sophistiqués, des réseaux interconnectés… C’est un monde rempli de mystères et d’énigmes à résoudre. Dans cet article, nous vous proposons de plonger dans l’univers des questions énigmatiques sur l’informatique. Préparez-vous à exercer vos méninges et à découvrir des énigmes passionnantes qui mettront à l’épreuve votre connaissance de ce domaine en constante évolution.

L’Énigme du Cryptogramme Indéchiffrable :

Imaginez un message codé, apparemment indéchiffrable, qui résiste à toutes les tentatives de décryptage. Cette énigme, connue sous le nom de « cryptogramme indéchiffrable », est basée sur les principes de la cryptographie et a fasciné de nombreux experts au fil des années. Dans cet article, nous vous invitons à percer les secrets de cette énigme et à découvrir les techniques utilisées pour tenter de la résoudre.

Le Paradoxe de l’Arrêt de Turing :

Alan Turing, célèbre mathématicien et pionnier de l’informatique, a formulé de nombreux concepts fondamentaux dans ce domaine. L’un d’entre eux est le « problème de l’arrêt », qui pose la question suivante : existe-t-il un algorithme capable de déterminer si un autre algorithme s’arrêtera ou continuera indéfiniment ? Cette énigme, connue sous le nom de « paradoxe de l’arrêt de Turing », soulève des questions profondes sur les limites de la computation et a suscité de nombreux débats parmi les experts.

L’Énigme des P versus NP :

La question de savoir si P est égal à NP ou non est l’une des plus grandes énigmes non résolues en informatique. Elle concerne la complexité des problèmes de décision et a des implications majeures dans de nombreux domaines, tels que la sécurité informatique et l’optimisation. Dans cet article, nous vous emmènerons dans un voyage à travers cette énigme et vous expliquerons pourquoi sa résolution reste l’un des plus grands défis pour les chercheurs en informatique.

Le Mystère des Ordinateurs Quantiques :

Les ordinateurs quantiques sont souvent considérés comme le futur de l’informatique, promettant une puissance de calcul inégalée grâce aux lois de la mécanique quantique. Cependant, la construction d’un ordinateur quantique viable reste un défi majeur. Dans cette énigme, nous explorerons les concepts fondamentaux de l’informatique quantique, tels que la superposition et l’interférence quantique, et nous plongerons dans les mystères entourant la création d’un ordinateur quantique fonctionnel.

Conclusion :

Les questions énigmatiques sur l’informatique nous rappellent que malgré les avancées technologiques et les progrès réalisés, il reste encore beaucoup à découvrir et à résoudre dans ce domaine fascinant. Les énigmes que nous avons explorées dans cet article ne représentent qu’une infime partie des défis qui attendent les chercheurs et les passionnés d’informatique. Alors, que vous soyez un amateur curieux ou un expert chevronné, n’hésitez pas à plonger dans ces questions énigmatiques et à vous laisser emporter par les mystères du monde numérique.

L’avenir de l’IA en entreprise en 2023

L’avenir de l’IA en entreprise : comment la technologie transforme les opérations commerciales

Introduction :

L’intelligence artificielle (IA) est en train de transformer la manière dont les entreprises opèrent et interagissent avec leurs clients. De plus en plus d’entreprises adoptent des technologies d’IA pour automatiser des tâches répétitives, améliorer leur efficacité opérationnelle et prendre des décisions plus éclairées. Dans cet article, nous explorerons les tendances actuelles et les développements futurs de l’IA en entreprise, ainsi que les implications sociales et environnementales de cette technologie en pleine croissance.

L’automatisation de tâches répétitives :

Les IA sont particulièrement utiles pour automatiser des tâches répétitives, telles que la classification de données, la gestion de la chaîne d’approvisionnement et la détection de fraudes. Les entreprises peuvent ainsi réduire les coûts de main-d’œuvre, améliorer la précision des résultats et libérer les employés de tâches fastidieuses pour qu’ils puissent se concentrer sur des tâches à plus forte valeur ajoutée.

L’optimisation des processus de production :

Les IA peuvent également aider les entreprises à optimiser leurs processus de production. Les algorithmes d’IA peuvent analyser les données en temps réel pour détecter les anomalies et prévenir les pannes, ce qui permet aux entreprises de réduire les temps d’arrêt et d’augmenter la productivité.

L’amélioration de l’expérience client :

Les chatbots basés sur l’IA sont de plus en plus utilisés pour répondre aux demandes des clients et améliorer leur satisfaction. Les chatbots peuvent fournir des réponses instantanées et personnalisées, ce qui améliore l’expérience client et réduit les coûts de support client pour les entreprises.

Les implications sociales et environnementales :

Bien que l’IA ait le potentiel de transformer profondément la manière dont les entreprises opèrent, il est important de noter les implications sociales et environnementales de cette technologie en pleine croissance. Par exemple, les IA peuvent être utilisées pour automatiser des emplois et réduire les coûts de main-d’œuvre, ce qui peut avoir un impact négatif sur les travailleurs. De plus, les IA nécessitent des ressources énergétiques importantes pour fonctionner, ce qui peut avoir un impact sur l’environnement.

En conclusion :

En conclusion, l’IA est en train de transformer la manière dont les entreprises opèrent et interagissent avec leurs clients. Les entreprises qui adoptent cette technologie peuvent améliorer leur efficacité opérationnelle, réduire les coûts et améliorer l’expérience client. Cependant, il est important de considérer les implications sociales et environnementales de cette technologie en pleine croissance, afin de minimiser les impacts négatifs potentiels sur les travailleurs et l’environnement.

L’utilisation des IA en entreprise : possibilités et exemples

L’utilisation des IA en entreprise : possibilités et exemples

L’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) est en train de changer le paysage des affaires dans le monde entier. De nombreuses entreprises utilisent déjà des technologies d’IA pour améliorer leur efficacité, leur productivité et leur rentabilité. Dans cet article, nous allons explorer les possibilités offertes par les IA pour les entreprises, ainsi que des exemples concrets d’entreprises ayant déjà adopté ces technologies.

Assistance virtuelle et chatbots

Les chatbots et les assistants virtuels sont des exemples courants d’utilisation de l’IA en entreprise. Les chatbots sont des programmes qui peuvent répondre automatiquement aux questions des clients et fournir des informations utiles sur les produits et services. Les assistants virtuels peuvent aider les employés à accomplir des tâches telles que la gestion des plannings, la planification des réunions, la recherche de documents et la prise de notes.
Exemple: KLM Royal Dutch Airlines utilise un chatbot appelé BB (Blue Bot) pour aider les clients à planifier leurs voyages. BB peut répondre aux questions des clients sur les vols, les horaires, les tarifs et les services proposés.

Analyse des données et prise de décision

L’IA peut aider les entreprises à analyser les données de manière plus rapide et plus précise que les humains. Cela permet aux entreprises de prendre des décisions éclairées en temps réel. Les technologies d’IA peuvent également aider à prédire les tendances futures en se basant sur des données historiques et en utilisant des algorithmes d’apprentissage automatique.
Exemple: Coca-Cola utilise l’IA pour analyser les données des médias sociaux et des ventes pour prédire les tendances futures du marché. L’entreprise utilise ces informations pour ajuster sa stratégie de marketing et de vente en temps réel.

Optimisation des processus

Les technologies d’IA peuvent également aider les entreprises à optimiser leurs processus en automatisant des tâches répétitives ou chronophages. Cela peut réduire les coûts et augmenter l’efficacité des processus.
Exemple: UPS utilise l’IA pour optimiser ses itinéraires de livraison en temps réel. L’entreprise utilise des algorithmes d’apprentissage automatique pour prévoir les embouteillages et les retards, et pour déterminer le meilleur itinéraire pour chaque livraison.

Personnalisation des produits et services

Les technologies d’IA peuvent aider les entreprises à personnaliser leurs produits et services en fonction des besoins et des préférences des clients. Cela peut améliorer l’expérience client et augmenter la satisfaction.
Exemple: Amazon utilise l’IA pour personnaliser les recommandations de produits pour chaque client. L’entreprise utilise des algorithmes d’apprentissage automatique pour analyser les habitudes d’achat de chaque client et pour recommander des produits similaires qui pourraient les intéresser.

 

En conclusion, l’utilisation des IA en entreprise offre de nombreuses possibilités pour améliorer l’efficacité, la productivité et la rentabilité. Les entreprises qui adoptent ces technologies peuvent tirer parti de ces avantages pour rester compétitives sur le marché. Ces exemples d’utilisation de l’IA montrent que ces technologies sont déjà largement utilisées et qu’elles ont un impact significatif

 

Mots-clés : intelligence artificielle, entreprise, chatbot, assistant virtuel, analyse de données, prise de décision, optimisation de processus, personnalisation de produits

MEMO – gestion USB sous GNU/Linux

Avec la plupart des distributions Linux à interface graphique, il existe des outils logiciels permettant de gérer les clés USB. Néanmoins, il est également possible de le faire dans un terminal, avec différentes commandes. Dans cet article, plusieurs points sont abordés :

  • L’identification des fichiers associés à la clé USB et aux partitions ;
  • Le montage manuel des clés USB ;
  • L’identification des points de montage ;
  • Le démontage manuel des clés USB ;
  • Le formatage d’une partition d’une clé USB ;
  • La création d’une clé USB bootable.

 

Identifier des fichiers associés à la clé USB et à ses partitions

Sous Linux, les périphériques sont gérés par des fichiers créés dans le répertoire /dev. Les clés USB n’échappent pas à cette règle. Il est donc nécessaire de connaitre le fichier associé à la clé USB et ceux associés à ses partitions, notamment pour la monter manuellement. Afin de connaitre le fichier associé à la partition d’une clé USB, il faut utiliser la commande fdisk -l.

Cette commande renvoie la liste des disques (disques durs internes, disques durs externes, clés USB,…) connectés à l’ordinateur. Il suffit ensuite de répérer la clé USB (en fonction de sa taille généralement) et noter le fichier associé à la partition de la clé USB (/dev/sdb1 par exemple).

La commande fdisk- l renvoie également le type de fichier de la partition (ou des partitions) des différents disques.

Remarque : un fichier associé à périphérique de stockage est du format /dev/sdX, avec X correspondant à une lettre (a pour le premier périphérique, b pour le deuxième, etc). Chaque partition du périphérique est ensuite associée à un autre fichier dont le nom correspond au nom du fichier associé au périphérique, suivi du numéro de partition. Par exemple, si votre périphérique de stockage est associé au fichier /dev/sdc, la première partition de ce périphérique est associée au fichier /dev/sdc1, la deuxième au fichier /dev/sdc2, etc. Pour une clé USB, il n’y a généralement qu’une partition.

 

Montage manuel d’une clé USB

Avant de monter une clé USB, vous devez créer, avec la commande mkdir, un répertoire de montage (répertoire qui vous permettra de naviguer dans la clé USB). Ce répertoire peut être créé dans le dossier /mnt de Linux (prévu pour accueillir les points de montage de différents systèmes de fichier) ou dans le dossier /media (prévu pour accueillir les points de montage des périphériques externes).

Par exemple : mkdir /mnt/usb

Vous pouvez maintenant monter la clé USB avec la commande mount, prenant en paramètre le fichier du répertoire /dev associé à la partition à monter et le répertoire de montage.

Par exemple, pour monter la clé USB associée au fichier /dev/sdc1 dans le répertoire /mnt/usb : mount /dev/sdc1 /mnt/usb

 

Identifier le point de montage d’une clé USB

Dans le cas d’une clé USB montée automatiquement, il est possible de connnaitre le point de montage d’une clé USB (et des autres périphériques) avec la commande lsblk. Vous pouvez utiliser l’option -o suivie du nom de colonnes pour avoir plus d’informations : lsblk -o model,name,type,fstype,size,label

Démontage manuel d’une clé USB

La commande umount permet de démonter une clé USB. Elle prend en paramètre le répertoire de montage de la clé USB.

Par exemple : umount /mnt/usb (pour démonter une clé USB montée dans le répertoire /mnt/usb).

 

Formatage d’une partition d’une clé USB

Le formatage est souvent utilisé comme synonyme de suppression complète des données. En réalité, le formatage consiste à définir un système de fichiers pour une partition (ce qui a pour effet de supprimer les données présentes sur la partition). Pour formater une clé USB, il faut donc choisir un système de fichiers. Plusieurs systèmes de fichiers peuvent être utilisés :

  • FAT32 : compatible Windows, Mac et Linux – stockage de fichiers inférieurs à 4 Go ;
  • NTFS : compatible Windows, Mac (en lecture seule seulement), Linux – pour les systèmes Windows en priorité ;
  • exFAT : compatible Windows, Mac, Linux (avec l’installation du paquet exfat) – pour les fichiers dépassant 4 Go ;

Il est également possible d’utiliser le système de fichiers ext4 de Linux pour formater une clé USB, mais celle ci ne sera utilisable correctement que sur Linux. Il est donc conseillé d’utiliser le système de fichier exFAT.

Une fois que vous avez choisi un système de fichiers, le formatage s’effectue avec la commande mkfs, en passant en paramètre le fichier associé à la clé USB. Vous pouvez aussi préciser un nom à donner à la partition avec l’option -n. Par exemple, pour formater la partition d’une clé USB associée au fichier /dev/sdb1 et en donnant le nom MaCle à la partition :

  • En FAT32 : mkfs.vfat -n MaCle /dev/sdb1
  • En NTFS : mkfs.ntfs -n MaCle /dev/sdb1
  • En exFAT : mkfs.exfat -n MaCle /dev/sdb1

 

Création d’une clé bootable à partir d’un fichier ISO

Avoir une clé USB bootable est toujours utile, soit pour installer un poste ou faire du dépannage. Pour créer une clé USB bootable, vous devez avoir le fichier ISO du système que vous souhaitez installer sur la clé USB et connaitre le fichier associé à la clé USB. Il suffit ensuite d’utiliser la commande dd en précisant le fichier ISO avec l’option if et le fichier associé à la clé USB avec l’option of. Vous pouvez aussi utiliser l’option status=progress pour afficher l’avancement de la création de la clé USB.

Par exemple, pour créer une clé USB bootable associée au fichier /dev/sdc à partir du fichier ISO /home/debian.iso : dd if=/home/debian.iso of=/dev/sdc status=progress

Remarques :

  • Cette commande supprime toutes les données présentes sur le périphérique de stockage. Ne vous trompez donc pas sur le fichier associé à la clé USB.
  • La clé USB s’adapte au système sur lequel est appelé la commande dd : si le poste fonctionne avec un BIOS classique, la clé USB sera bootable en BIOS. Si le poste fonctionne avec un UEFI, la clé USB sera bootble en UEFI.