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Un bon prompt – Les principes à suivre

Un bon prompt – Les principes à suivre

Prompt - les principes

1. Clarté et Précision

  • Décrivez clairement ce que vous attendez.
  • Évitez les formulations ambiguës.
  • Si possible, fournissez des exemples. Exemple :
    Mauvais prompt : « Résume ce texte. »
    Bon prompt : « Résume ce texte en 3 phrases, en mettant en avant les points principaux. »

2. Contexte

  • Fournissez suffisamment d’informations pour que l’assistant comprenne la tâche.
  • Ajoutez du contexte si nécessaire. Exemple :
    « Génère un email professionnel pour proposer une collaboration sur un projet de développement web. »

3. Format attendu

  • Indiquez clairement le format de réponse souhaité (liste, tableau, paragraphe, etc.). Exemple :
    « Donne-moi une liste de 5 idées d’articles de blog sur la technologie. »

4. Soyez spécifique

  • Précisez les détails importants : style, ton, langue, etc.
  • Mentionnez explicitement les contraintes. Exemple :
    « Écris une histoire courte pour des enfants de 8-10 ans, avec un vocabulaire simple et un message sur l’importance de l’amitié. »

5. Utilisez des étapes si nécessaire

  • Si la tâche est complexe, divisez-la en étapes claires. Exemple :
    « Explique comment installer Python sur Windows. Ensuite, montre comment créer un projet Django. »

6. Itérez et améliorez

  • Si la réponse n’est pas parfaite, ajustez votre prompt en ajoutant des détails ou en reformulant.

Exemple d’un bon prompt complexe :

« Crée un tableau comparatif entre Python et JavaScript pour les développeurs débutants. Les colonnes doivent inclure : syntaxe, cas d’utilisation principaux, facilité d’apprentissage, et frameworks populaires. »

En résumé, soyez clair, précis et structuré pour maximiser la pertinence des réponses. 😊

Les Raccourcis Clavier Essentiels sur Linux, macOS, et Windows

Les Raccourcis Clavier Essentiels sur PC

Les Raccourcis Clavier

Les Raccourcis Clavier Essentiels

Introduction

Les raccourcis clavier sont des combinaisons de touches qui permettent d’exécuter des commandes rapidement, sans passer par les menus. Que vous soyez un utilisateur de Linux, macOS ou Windows, connaître ces raccourcis peut vous faire gagner du temps et améliorer votre productivité. Dans cet article, nous allons explorer les raccourcis clavier les plus utiles sur ces trois systèmes d’exploitation.

Raccourcis Clavier Essentiels : Linux

  • Ctrl + Alt + T : Ouvrir un terminal.
  • Alt + Tab : Basculer entre les applications ouvertes.
  • Super + D : Afficher le bureau (Super est souvent la touche Windows sur un clavier).
  • Ctrl + Alt + L : Verrouiller l’écran.

Gestion des fichiers

  • Ctrl + C : Copier un fichier ou un texte sélectionné.
  • Ctrl + V : Coller un fichier ou un texte copié.
  • Ctrl + A : Sélectionner tout.
  • Ctrl + N : Ouvrir une nouvelle fenêtre de l’explorateur de fichiers.

Raccourcis système

  • Ctrl + Alt + Suppr : Redémarrer X Server (interface graphique).
  • Alt + F2 : Lancer une commande.
  • Alt + F4 : Fermer la fenêtre actuelle.

Raccourcis Clavier Essentiels : macOS

  • Cmd + Tab : Basculer entre les applications ouvertes.
  • Cmd + H : Masquer l’application active.
  • Cmd + M : Réduire la fenêtre active.
  • Cmd + Option + Esc : Forcer la fermeture d’une application.

Gestion des fichiers

  • Cmd + C : Copier un fichier ou un texte sélectionné.
  • Cmd + V : Coller un fichier ou un texte copié.
  • Cmd + A : Sélectionner tout.
  • Cmd + N : Ouvrir une nouvelle fenêtre du Finder.

Raccourcis système

  • Cmd + Espace : Ouvrir Spotlight pour rechercher des applications ou des fichiers.
  • Cmd + Shift + 3 : Capture d’écran complète.
  • Cmd + Option + P + R : Réinitialiser la NVRAM (utilisé pour dépanner).

Raccourcis Clavier Essentiels : Windows

  • Alt + Tab : Basculer entre les applications ouvertes.
  • Windows + D : Afficher le bureau.
  • Alt + F4 : Fermer l’application active.
  • Ctrl + Shift + Esc : Ouvrir le gestionnaire des tâches.

Gestion des fichiers

  • Ctrl + C : Copier un fichier ou un texte sélectionné.
  • Ctrl + V : Coller un fichier ou un texte copié.
  • Ctrl + A : Sélectionner tout.
  • Ctrl + N : Ouvrir une nouvelle fenêtre de l’explorateur de fichiers.

Raccourcis système

  • Windows + L : Verrouiller l’écran.
  • Windows + E : Ouvrir l’explorateur de fichiers.
  • Windows + R : Ouvrir la boîte de dialogue Exécuter.

Conclusion

Les raccourcis clavier sont des outils puissants pour améliorer votre efficacité sur votre ordinateur, que vous utilisiez Linux, macOS ou Windows. En maîtrisant ces raccourcis, vous pouvez naviguer plus rapidement, gérer vos fichiers efficacement et effectuer des tâches courantes sans effort. N’hésitez pas à intégrer ces raccourcis dans votre routine quotidienne pour un gain de productivité immédiat.

Debian – Examiner ses sources APT

Debian – Examiner rapidement les configurations de source de paquet APT

logo Debian

Debian examiner ses sources APT

Debian examiner ses sources APT

Examiner rapidement les configurations de source de paquet APT sur un système Debian : exemple avec la commande find

Dans un système Debian (ou tout système basé sur Debian, comme Ubuntu) pour trouver et afficher le contenu de certains fichiers dans le répertoire /etc/apt

 

find /etc/apt -type f -regex ".*list$\|.*sources$" -exec bash -c 'echo "$1"; nl -ba "$1"; echo' _ '{}' \;

Voici une analyse détaillée de chaque partie de cette commande :

  • find /etc/apt: Cette partie de la commande recherche dans le répertoire /etc/apt et ses sous-répertoires. /etc/apt est le répertoire où sont stockées les configurations du gestionnaire de paquets APT, y compris les sources des paquets (repositories).
  • -type f: Cette option limite la recherche aux fichiers (et non aux répertoires, liens symboliques, etc.).
  • -regex ".*list$\|.*sources$": Cette option filtre les résultats de la recherche pour ne retourner que les fichiers dont les noms se terminent par list ou sources. Le $ indique la fin du nom du fichier. L’utilisation de \| permet de chercher des fichiers qui correspondent à l’un ou l’autre des motifs spécifiés (.*list ou .*sources).
  • -exec bash -c 'echo "$1"; nl -ba "$1"; echo' _ '{}' \;: Cette partie de la commande est un peu plus complexe. Elle exécute une commande pour chaque fichier trouvé qui correspond aux critères spécifiés précédemment.
    • -exec: Permet d’exécuter une commande sur chaque fichier trouvé.
    • bash -c '...' _ '{}': Exécute la commande spécifiée par les guillemets ('...') dans un nouveau shell Bash. Le {} est remplacé par le chemin du fichier trouvé. Le _ est un placeholder pour $0 dans le script exécuté par bash -c, qui n’est pas utilisé dans ce cas.
    • echo "$1": Affiche le chemin du fichier traité. $1 fait référence au premier argument après le script bash, qui dans ce cas est le chemin du fichier (remplacement de {}).
    • nl -ba "$1": Utilise la commande nl pour numéroter toutes les lignes (-ba) du fichier spécifié et afficher son contenu.
    • echo: Affiche une ligne vide après le contenu de chaque fichier pour une meilleure lisibilité.

En résumé, cette commande recherche dans /etc/apt tous les fichiers se terminant par list ou sources, puis pour chaque fichier trouvé, affiche son chemin, numérote et affiche son contenu, suivi d’une ligne vide. Cette commande peut être utile pour examiner rapidement les configurations de source de paquet APT sur un système Debian ou dérivés.

grub2 – partitions bootable manquante

grub2 et osprober

grub2 osprober

Message d’erreur :

warning: osprober will not be executed to detect other bootable partitions:
check GRUB_DISABLE_OS_PROBER documentation entry

Explication :

Depuis Grub 2.6, la valeur par défaut de GRUB_DISABLE_OS_PROBER est passée de « false » à « true« 

Résolution :

Pour activer os-prober lors de l’exécution de update-grub il faut donc ajouter à /etc/default/grub

GRUB_DISABLE_OS_PROBER=false

puis relancer un update-grub

update-grub

Grub en quelques mots

GRUB2, également connu sous le nom de GRand Unified Bootloader 2, est un gestionnaire de démarrage utilisé principalement dans les systèmes d’exploitation basés sur Linux. Il est la version améliorée de GRUB (GRUB Legacy) et est largement utilisé sur de nombreuses distributions Linux.

Voici quelques points importants à savoir sur GRUB2 :

Gestionnaire de démarrage

GRUB2 est responsable de l’amorçage du système d’exploitation lors du démarrage de l’ordinateur. Il est installé dans le MBR (Master Boot Record) ou le secteur de démarrage de la partition et permet de choisir le système d’exploitation à lancer.

Configuration flexible

GRUB2 utilise un fichier de configuration appelé « grub.cfg » pour déterminer les options de démarrage et la manière dont les différents systèmes d’exploitation sont chargés. Ce fichier de configuration peut être modifié pour personnaliser les options de démarrage, ajouter des entrées supplémentaires, modifier les paramètres par défaut, etc.

Support de plusieurs systèmes d’exploitation

GRUB2 est capable de démarrer différents systèmes d’exploitation, y compris différentes versions de Linux, Windows, macOS, BSD, Solaris, etc. Il détecte automatiquement les systèmes d’exploitation installés sur le disque dur et les ajoute à son menu de démarrage.

Interface utilisateur

GRUB2 propose une interface utilisateur en ligne de commande pour sélectionner les options de démarrage. Il permet également de définir un menu graphique avec des thèmes personnalisés, des images de fond, des couleurs, etc., offrant une expérience plus conviviale.

Fonctionnalités avancées

GRUB2 offre de nombreuses fonctionnalités avancées, telles que le support du chiffrement des partitions, la prise en charge des volumes logiques LVM, le démarrage en réseau (PXE), la gestion des modules, la détection automatique des noyaux Linux, etc.

Dépannage

En cas de problèmes de démarrage, GRUB2 propose des options de dépannage, notamment l’accès à une ligne de commande pour effectuer des réparations manuelles, la restauration de la configuration par défaut, la réinstallation de GRUB2, etc.

Il convient de noter que GRUB2 est un logiciel open source. Il est largement utilisé et maintenu par la communauté Linux. De ce fait, il continue d’évoluer avec de nouvelles fonctionnalités, des correctifs de sécurité et des améliorations apportées par les développeurs et les contributeurs.

MEMO – gestion USB sous GNU/Linux

Avec la plupart des distributions Linux à interface graphique, il existe des outils logiciels permettant de gérer les clés USB. Néanmoins, il est également possible de le faire dans un terminal, avec différentes commandes. Dans cet article, plusieurs points sont abordés :

  • L’identification des fichiers associés à la clé USB et aux partitions ;
  • Le montage manuel des clés USB ;
  • L’identification des points de montage ;
  • Le démontage manuel des clés USB ;
  • Le formatage d’une partition d’une clé USB ;
  • La création d’une clé USB bootable.

 

Identifier des fichiers associés à la clé USB et à ses partitions

Sous Linux, les périphériques sont gérés par des fichiers créés dans le répertoire /dev. Les clés USB n’échappent pas à cette règle. Il est donc nécessaire de connaitre le fichier associé à la clé USB et ceux associés à ses partitions, notamment pour la monter manuellement. Afin de connaitre le fichier associé à la partition d’une clé USB, il faut utiliser la commande fdisk -l.

Cette commande renvoie la liste des disques (disques durs internes, disques durs externes, clés USB,…) connectés à l’ordinateur. Il suffit ensuite de répérer la clé USB (en fonction de sa taille généralement) et noter le fichier associé à la partition de la clé USB (/dev/sdb1 par exemple).

La commande fdisk- l renvoie également le type de fichier de la partition (ou des partitions) des différents disques.

Remarque : un fichier associé à périphérique de stockage est du format /dev/sdX, avec X correspondant à une lettre (a pour le premier périphérique, b pour le deuxième, etc). Chaque partition du périphérique est ensuite associée à un autre fichier dont le nom correspond au nom du fichier associé au périphérique, suivi du numéro de partition. Par exemple, si votre périphérique de stockage est associé au fichier /dev/sdc, la première partition de ce périphérique est associée au fichier /dev/sdc1, la deuxième au fichier /dev/sdc2, etc. Pour une clé USB, il n’y a généralement qu’une partition.

 

Montage manuel d’une clé USB

Avant de monter une clé USB, vous devez créer, avec la commande mkdir, un répertoire de montage (répertoire qui vous permettra de naviguer dans la clé USB). Ce répertoire peut être créé dans le dossier /mnt de Linux (prévu pour accueillir les points de montage de différents systèmes de fichier) ou dans le dossier /media (prévu pour accueillir les points de montage des périphériques externes).

Par exemple : mkdir /mnt/usb

Vous pouvez maintenant monter la clé USB avec la commande mount, prenant en paramètre le fichier du répertoire /dev associé à la partition à monter et le répertoire de montage.

Par exemple, pour monter la clé USB associée au fichier /dev/sdc1 dans le répertoire /mnt/usb : mount /dev/sdc1 /mnt/usb

 

Identifier le point de montage d’une clé USB

Dans le cas d’une clé USB montée automatiquement, il est possible de connnaitre le point de montage d’une clé USB (et des autres périphériques) avec la commande lsblk. Vous pouvez utiliser l’option -o suivie du nom de colonnes pour avoir plus d’informations : lsblk -o model,name,type,fstype,size,label

Démontage manuel d’une clé USB

La commande umount permet de démonter une clé USB. Elle prend en paramètre le répertoire de montage de la clé USB.

Par exemple : umount /mnt/usb (pour démonter une clé USB montée dans le répertoire /mnt/usb).

 

Formatage d’une partition d’une clé USB

Le formatage est souvent utilisé comme synonyme de suppression complète des données. En réalité, le formatage consiste à définir un système de fichiers pour une partition (ce qui a pour effet de supprimer les données présentes sur la partition). Pour formater une clé USB, il faut donc choisir un système de fichiers. Plusieurs systèmes de fichiers peuvent être utilisés :

  • FAT32 : compatible Windows, Mac et Linux – stockage de fichiers inférieurs à 4 Go ;
  • NTFS : compatible Windows, Mac (en lecture seule seulement), Linux – pour les systèmes Windows en priorité ;
  • exFAT : compatible Windows, Mac, Linux (avec l’installation du paquet exfat) – pour les fichiers dépassant 4 Go ;

Il est également possible d’utiliser le système de fichiers ext4 de Linux pour formater une clé USB, mais celle ci ne sera utilisable correctement que sur Linux. Il est donc conseillé d’utiliser le système de fichier exFAT.

Une fois que vous avez choisi un système de fichiers, le formatage s’effectue avec la commande mkfs, en passant en paramètre le fichier associé à la clé USB. Vous pouvez aussi préciser un nom à donner à la partition avec l’option -n. Par exemple, pour formater la partition d’une clé USB associée au fichier /dev/sdb1 et en donnant le nom MaCle à la partition :

  • En FAT32 : mkfs.vfat -n MaCle /dev/sdb1
  • En NTFS : mkfs.ntfs -n MaCle /dev/sdb1
  • En exFAT : mkfs.exfat -n MaCle /dev/sdb1

 

Création d’une clé bootable à partir d’un fichier ISO

Avoir une clé USB bootable est toujours utile, soit pour installer un poste ou faire du dépannage. Pour créer une clé USB bootable, vous devez avoir le fichier ISO du système que vous souhaitez installer sur la clé USB et connaitre le fichier associé à la clé USB. Il suffit ensuite d’utiliser la commande dd en précisant le fichier ISO avec l’option if et le fichier associé à la clé USB avec l’option of. Vous pouvez aussi utiliser l’option status=progress pour afficher l’avancement de la création de la clé USB.

Par exemple, pour créer une clé USB bootable associée au fichier /dev/sdc à partir du fichier ISO /home/debian.iso : dd if=/home/debian.iso of=/dev/sdc status=progress

Remarques :

  • Cette commande supprime toutes les données présentes sur le périphérique de stockage. Ne vous trompez donc pas sur le fichier associé à la clé USB.
  • La clé USB s’adapte au système sur lequel est appelé la commande dd : si le poste fonctionne avec un BIOS classique, la clé USB sera bootable en BIOS. Si le poste fonctionne avec un UEFI, la clé USB sera bootble en UEFI.

La recherche texte zgrep dans une archive

zgreprecherche texte zgrep dans une archive

zgrep - recherche texte zgrep dans une archive

 

recherche texte zgrep

zgrep est utilisé pour invoquer la commande grep sur des fichiers compactés par compress ou par gzip. Toutes les options spécifiées sont passées directement à grep. Si aucun fichier n’est mentionné, alors l’entrée standard est décompactée si nécessaire et est envoyée à grep. Sinon, les fichiers fournis sont décompactés si nécessaire et sont envoyés à grep.

J’ai du rechercher des actions passées d’un joueur Minecraft, et ce dans les logs du jeu.

J’ai effectuer dans le dossier des logs Minecraft un simple

zgrep 'Nom du joueur' 2020-*

l’action du joueur était en 2020, mais on peux étendre la recherche à tous les fichiers du répertoire, par exemple avec l’extension

zgrep 'texte à rechercher' *.log.gz

pas tester mais pourquoi ça ne fonctionnerai pas ? Vous pouvez bien entendu élargir l’utilisation à d’autre archives, par exemple dans le dossiers des log de fail2ban, où logrotate doit archiver vos logs.

Il est important en administration systèmes de pouvoir recherche une chaine de caractères dans une archive. La gestion des logs par logrotate en est un formidable exemple. Essayez c’est l’adopter.

Merci de me suivre et de partager votre expérience ici

Vi et Vim – Chercher et remplacer

Petite note personnelle pour un pense bête sur Vi et Vim

Vi et Vim – Chercher et remplacer

Vi et Vim - Chercher et remplacer

Vi et Vim – Chercher et remplacer

Rechercher « toto » et remplacer par « tata » sans demander à chaque occurrence trouvée :

:%s/toto/tata/g

Rechercher « toto » et remplacer par « tata » et demander à chaque occurrence trouvée :

:%s/toto/tata/gc

 

On oublie pas de quitter et sauvegarder nos modifications avec :

:wq

Voici un exemple d’utilisation de Vi ou Vim pour chercher et remplacer du texte.